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Abstract La présente étude a débouché sur un ensemble de résultats que nous pouvons éclairer. Premièrement, à la lumière de notre étude linguistique, la créativité de la traduction littéraire est tributaire des équivalents choisis (mots, proverbes, locutions) et de leur conformité au contexte culturel et religieux du lecteur récepteur. La priorité doit être donnée à une reproduction adéquate et compréhensible du sens. La traduction des Textes religieux devrait se faire dans l’extrême respect de leur lettre, leur finalité et, tant que possible, de leur aspect esthétique. Quant à la traduction des termes religieux, il est recommandé de faire allusion aux connotations étymologiques évoquées par les origines arabes et dont sont exempts les correspondants français. La fidélité absolue au texte source est une utopie insaisissable, car le traducteur ne saurait jamais s’identifier complètement à l’auteur. Sa personnalité laissera ses empreintes, consciemment ou inconsciemment, sur la traduction. Son intervention est tolérée tant qu’elle ne dépasse pas le vouloir dire de l’écrivain. Néanmoins, le recours aux notes en bas de la page s’avère parfois nécessaire pour rectifier certaines contrevérités historiques. |