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Abstract CONCLUSION si, nous avons dernontre comment G.Perec a inlassablement tente de ·uer son vecu. En etudiant fa part du reel de son biographique, nous rquons I’obssession du manque qui s’est constitue de maniere · atique pendant la petite enfance. Ce manque est donc I’indicible qui ne \iltre exprime par les mots. Mais il se presente sous deux traits · iographiques : I’inconnaissable et I’inimaginable. resentant la perte des parents en bas age et la perte des souvenirs de nee. I’inconnaissable fait partie de la realite perecquienne difficile a ,iler. II prend plusieurs formes: I’absence, la disparition, l’oubli, I’inconnu, r dans une information, expression, mot, lettre, chiffre ou tout autre nt a I’inimaginable, iI represente I’Histoire ”avec sa grande hache”, c’est- .l’histoire de I’aneantissement des juifs par les allemands a la 2e Guerre Ie. Ce deracinernent inimaginable eut pour consequence la perte de te juive, axe fonda mental du biographique perecquien. Cet autre .e se-manifeste dans I’errance du Moi prive de son heritage. Cette perte . itage est re-produite par rabsence de la langue matemelle [juive 1, de [ disparition des traces de la mere l. du nom et du prenom juifs et par toute I’histoire juive. L’iriimaginable prend aussi les memes formes de e part, nous avons vu comment la repartition de I’espace reel en lieux et lieux ferrnes et la classification de ces demiers en lieux prives, neufs, anciens, habites et inhabites ont devoile les deux faces de cet |